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Lieu : Avignon, Vaucluse, France

lundi 21 février 2011

Algérie


contestation des gardes communaux

http://www.elwatan.com/actualite/les-gld-reclament-un-statut-de-la-dignite-21-02-2011-112721_109.php

« L’opération, entrant dans le cadre du nouveau redéploiement de ce corps paramilitaire vers d’autres structures de sécurité, n’est pas du goût des 2000 gardes communaux activant à l’échelle nationale. Ils contestent fortement le nouveau statut d’agent de sécurité qui leur a été proposé en vue de la dissolution de ce corps paramilitaire. »

... »Nous avons été recrutés en 1994. Nous avons été affectés dans les zones les plus reculées. Nous risquions notre vie pendant les années du terrorisme. Nous étions au devant de la scène et, aujourd’hui, on se retrouve les derniers de la chaîne», peste un agent, qui récuse l’idée de devenir agent de sécurité.

...Ces agents de la garde communale réclament le versement de leurs indemnisations et l’augmentation de leur salaire. «Nous demandons notre préavis de départ», ont-ils lancé.

Grève de trois jours des agents communaux

http://www.elwatan.com/actualite/greve-de-trois-jours-a-partir-d-aujourd-hui-21-02-2011-112738_109.php

« Le secteur compte plus de 500 000 fonctionnaires dont 50% ne touchent pas un salaire supérieur à 9000 DA.
Ces fonctionnaires des APC, si l’on croit Ali Yahia, porte-parole du syndicat, vont prendre part massivement à ce débrayage pour exiger la satisfaction de leurs revendications.
Cette initiative extrême de contestation est motivée, précise-t-on, par la dégradation du pouvoir d’achat des travailleurs communaux qui n’arrivent plus à faire face au coût de la vie et à la précarité de l’emploi des vacataires et contractuels. »

... « Le syndicat dénonce le retard flagrant (plus de trois ans) pour la promulgation du statut particulier et du régime indemnitaire des communaux contrairement aux autres secteurs de la fonction publique, comme il déplore le non-respect des lois de la République relatives à l’exercice du droit syndical et le droit des travailleurs de se constituer en syndicat dans plusieurs établissements publics et institution de l’Etat et s’insurge contre leur exclusion dans l’élaboration du statut particulier et de toutes les lois relatives au monde du travail tel que le nouveau code du travail ainsi que l’exploitation des travailleurs par le recours aux recrutements entre autres, dans les cadres du filet social, emploi de jeunes, pré emplois.. »

le climat des affaires assombri par incertitude politique

http://www.elwatan.com/supplement-economie/actualites/les-investisseurs-dans-l-expectative-21-02-2011-112744_198.php

« L’instabilité juridique, instaurée par la loi de finances complémentaire pour l’année 2009 et certains articles des lois de finances des années suivantes, avait déjà porté un coup fatal à l’investissement aussi bien national qu’étranger, mais également au fonctionnement des unités de production existantes, subitement contraintes de changer leurs modes habituels de financement des matières premières, pour en adopter qu’un seul et unique mode, en l’occurrence le crédit documentaire qu’elles ne maîtrisaient pas et qui, de surcroît, ruine leurs trésoreries.« A quoi cela servirait il d’investir dans un pays où le promoteur n’a même pas le droit de choisir le mode de financement qui convient le mieux à son affaire, parce suspecté d’avance d’être un tricheur potentiel ?», nous a déclaré un industriel installé dans la zone industrielle de Rouiba, qui a depuis quelques mois décidé de mettre en veilleuse son usine et tente de compenser ses pertes en se rabattant sur l’importation de produits de consommation. »

... « De nombreux investisseurs étrangers ont pourtant fait l’effort d’attendre une éventuelle remise en cause de ce dispositif qui n’a au bout du compte rien apporté de positif au pays, puisque les importations n’ont pas cessé d’augmenter (près de 50 milliards de dollars en 2010), que les IDE sont réduits à la portion congrue et que le privé national n’investit pratiquement plus dans le productif. Aucune démarche gouvernementale, pas même un discours politique susceptible de les rassurer n’a été initié par nos gouvernants, les investisseurs ont pratiquement tous choisi la voie de l’attentisme si ce n’est carrément le renoncement total à investir dans notre pays »

.. « Les investissements publics soutenus par d’importants budgets de l’Etat ne pourront même pas colmater la brèche, du fait que de très nombreux projets, notamment industriels, n’arrivent pas à être concrétisés dans les délais impartis du fait de la complexité des procédures de financement et autres lourdeurs administratives. »

levée de contraintes concernant les IDE

http://www.elwatan.com/supplement-economie/actualites/reparer-les-degats-de-la-lfc2009-21-02-2011-112747_198.php

«Il s’agit, en fait, de la suppression pure et simple des mesures contenues dans la loi de finances complémentaire de 2009 et qui ont été à l’origine du musèlement et du verrouillage excessif du marché national à l’égard des investisseurs étrangers et autres opérateurs du commerce extérieur. Les déclarations tenues par le ministre de l’industrie et la PME/PMI, Benmaradi, confirme en tout cas cette volonté du gouvernement. En premier lieu, c’est la clause dite 51/49 obligeant l’association d’un partenaire national, public ou privé, à tout projet d’investissement à hauteur de 51%. Ce qui fait que les capitaux étrangers ne peuvent en aucun cas dépasser la part des 49% dans tout investissement réalisé au niveau local. »

« Parallèlement aux appels successifs formulés ces derniers jours par de nombreux partenaires de l’Algérie pour davantage d’ouverture dans les domaines politique et économique, un nouveau rapport de la banque mondiale souligne un net recul des investissements étrangers en Algérie »

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