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Lieu : Avignon, Vaucluse, France

mercredi 24 novembre 2010

réponse F. Brottes à la déclaration de politique générale de F. Fillon

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jeudi 18 novembre 2010

assemblée - budget - vote bloqué en deuxième lecture 39 amendements -

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mardi 16 novembre 2010


Ce que j'ai compris d'un article de François Bonnet sur Médiapart le 16 novembre

« de l'hyperprésidence à l'hypercandidature en 2012 »


théorie sur le remaniement :


ce qui s'affiche, qui est repris dans la presse : François Fillon trop fort pour être remercié par Sarkozy, et assez fort pour imposer plus de retenue dans les interventions publiques des conseillers, renvoi des centristes.


Pourrait être :

Borloo et Morin bouillant d'indignation pour le moins habile, revendiquant son indépendance pour Borloo, cela fait une ou deux candidatures de plus, et cela gêne Bayrou et Villepin (en passant il débauche leurs porte-paroles) – et au premier tour le noyau UMP est mobilisé.

Fillon assume et revendique son action (qui a été concertée).

Sarkozy prend de la distance, fait mousser son rôle international grâce aux présidences à venir.

Eventuellement, dans quelque temps, il fait part de réserves.

Il se fabrique un semblant de cohabitation et un soupçon de virginité.

Il se représente.


Dit ainsi, cela semble grotesque. Avec des journalistes commentant dignement, comme toujours, au fil des événements, au ras des pâquerettes, des petites phrases et des discours, cela peut marcher.


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dimanche 14 novembre 2010


oui je me moque de ce faux-changement de gouvernement.
Un peu parce qu'il est là pour faire parler la classe-journalistico-politique.
Aussi parce qu'en fait Fillon est devenu trop fort pour que Sarkozy se sépare de Fillon. Et que, à l'exception notable de la xénophobie et des caresses aux électeurs du Front National, au point de vue économique et au point de vue social je ne pense pas qu'il y ait grande différence.
Peut-être plus d'intelligence, et plus de fermeté dans le conservatisme du côté de Fillon, ce qui n'est pas franchement rassurant.